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Apr 27, 2011

Le LG Optimus 2X débarque outre-Manche avec un prix

On l’avait découvert au dernier CES de Las Vegas. Le LG Optimus 2X est le premier smartphone intégrant un CPU double core à avoir été dévoilé. Et le voilà qui arrive; il est dès à présent apparu sur des sites en ligne anglais.
Le CEO de LG l’avait dévoilé lors de la présentation du SoC Tegra 2 de Nividia. Il intègre une GPU Geforce et un CPU Cortex A9 dual core (chaque core étant cadencé à 1GHz). Il permet également d’enregistrer et de lire des vidéos Full HD 1080p, dispose d’un APN 8MPixels au dos et d’un 1.3MPixels en fa?ade, une sortie HDMI, un emplacement pour carte microSD, 8GB de mémoire interne. Il affiche 800 par 480 pixels sur son écran capacitif 4″. Il est proposé avec Android 2.2. Un vrai monstre de puissance pour lequel la question de l’autonomie reste toutefois entière, même s’il est livré avec une batterie 1500mAh.
Deux e-commer?ants anglais le proposent donc déjà : à 442£ (soit 500€) sur Clove et à 450£ (soit 510€) sur Expansys

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Apr 20, 2011

Lio s'intéresse de près aux amours de Cindy

Proposé par Eden Productions, ce rendez-vous promet d'explorer et ? déshabiller l'amour avec un grand A ?. Avec force de témoignages de célibataires et de couples, connus ou anonyme, la chanteuse s'intéressera à toutes les vertus et tous les modèles dans le registre de la passion.
Parmi les reportages, Histoires d'A s'intéressera par exemple à Basile de Koch et Frigide Barjot, le célèbre couple de chroniqueurs, marié depuis 16 ans mais ne vivant pas sous le même toit. Sexualité, amour de jeunesse et cougars seront également de la partie.
Lio partira aussi à la rencontre de Cindy, l'une des Viiip de la real tv de TF1. L'ancienne candidate de Secret Story racontera son parcours de véritable ? croqueuse d'hommes ?... Histoires d'A sera diffusé en prime time, à partir de 20h40.

Plus d'infos, les photos et les vidéos, cliquez ici

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Apr 13, 2011

Parti socialiste - touche pas à ma lutte anti-discriminations !

Le 26 mars, le Conseil régional d’Ile-de-France se réunit en séance plénière. Elue Nouveau Centre, Le?la Leghmara (photo), par ailleurs conseillère municipale à Colombes (92), propose à la discussion un projet de charte visant à ? lutter contre les discriminations subies par de jeunes Fran?ais issus de l’immigration maghrébine et d’Afrique Noire dans les Centres de formation des apprentis (CFA) ?. Selon elle, ces jeunes Arabes et Noirs que l’on envoie souvent par défaut dans ces voies, subissent une ? double peine ? : orientés dans ces filières sans forcément l’avoir voulu, ils n’y auraient pas accès aux métiers ayant un contact avec la clientèle, seraient cantonnés à des formations en batiment et travaux publics ou mécanique. Pire, ils auraient du mal à trouver un patron pour intégrer ces formations.
? En ayant travaillé plusieurs mois sur ce dossier, je me suis aper?ue que les jeunes de ces formations subissaient beaucoup de discriminations et que personne n’en parlait. Moi à leur age, on m’avait proposé de faire un BEP ! Pour moi, les filières en apprentissage sont aussi des filières d’excellence et il doit y avoir une revalorisation de l’apprentissage en France. Mais il doit y avoir avant tout un choix ?, affirme Le?la Leghmara. ? Pour ces jeunes issus de ces immigrations, ce sont plus de 30 lettres de motivations envoyées contre quelques-unes en moyenne pour tout autre jeune, et ce sont 20 entretiens contre 3 en moyenne pour trouver un patron. Il y a une vraie injustice pour eux. Personne ne s’est occupé du problème. On a beaucoup parlé des discriminations dans les grandes écoles, mais personne n’a jamais parlé de la discrimination qui frappent les jeunes dans les filières d’apprentissage ?, déplore-t-elle.
Ce 26 mars, Le?la Leghmara a donc souhaité porter ce débat dans les rangs de l’assemblée régionale. Mais les élus présents au Conseil ce jour-là refusent l’entrée en matière. Si élus du Parti communiste et Verts acceptent de débattre de ce texte, un tout autre son de cloches se fait entendre sur les bancs socialistes et Front national, qui votent contre la discussion du texte: ? J’ai senti une certaine agitation et une animosité autour de cette proposition. Les socialistes apprennent que le PC et les Verts décident de voter avec nous. Les chevènementistes, eux, se rangent derrière le PS. Je fais ma présentation en fin de séance, puis le PS propose une question préalable (procédure par laquelle une assemblée décide ou non de débattre d’un sujet, ndlr), alors même que communistes et Verts disaient que le débat devait avoir lieu. Contre toute attente, le PS s’allie au FN pour s’opposer à ma proposition. Ils ne s’opposent pas au texte en lui-même, ils refusent tout simplement d’en discuter. ?
Pour Le?la Leghmara, ce n’est ni plus ni moins qu’une alliance objective entre les deux partis : ? Ce qui choque, ce n’est pas temps l’alliance PS/FN, c’est surtout que le PS et le FN s’allient contre un texte qui parle de diversité et qui est censé faire des propositions pour les jeunes. Ce qui me gêne, c’est que le PS et le FN puissent trouver des points communs… ?
Le PS aurait-il lancé un message à l’élue du Nouveau Centre, lui signifiant que les discriminations et la diversité sont une chasse-gardée socialiste ? ? Le PS fait aujourd’hui de cette thématique son cheval de bataille, dit-elle. Et là, alors qu’il a l’occasion d’en parler, il classe le dossier. Notre responsabilité, c’est de dénoncer cette pratique. De plus, ma niche, je l’ai voulue ouverte, pas trop précise, pour que l’on puisse s’entendre malgré nos différences politiques. Avant le vote, le PS m’a dit : « Tu marches sur nos terres, là ! » ?
Etait-il nécessaire, comme le demandait l’élue Nouveau Centre, de créer une charte sur les discriminations concernant les CFA ? Les textes en vigueur ne suffisent-ils pas ? ? Non, répond l’intéressée. Il n’existe pas ce genre de texte au niveau régional, et il n’y avait rien concernant les CFA. Il fallait pointer du doigt ce problème. ?
Le?la Leghmara juge ? irresponsable ? l’attitude du Jean-Paul Huchon, président PS du Conseil régional : ? Il est parti juste avant que je prenne la parole en prétextant un empêchement. Il s’est excusé en off, a dit être désolé. Moi, je dis juste une chose : si, dorénavant, on ne peut plus débattre, que le PS le dise et nous ne proposerons plus rien. ?
Si man?uvre politique il y a eu, comme le prétend Le?la Leghmara, cette affaire n’est-elle pas la preuve que la lutte contre les discriminations et la question de la diversité en général, peuvent être, à l’instar de l’insécurité, des domaines sujets aux stratégies politiques classiques ? ? Je pense que les socialistes trouvaient l’idée très bonne mais qu’il était impossible pour eux qu’un autre parti que le PS l’incarne, qui plus est le Nouveau Centre. Politiquement, à un an des élections régionales, c’était dangereux pour eux ?, analyse Le?la Leghmara.
Le PS affirme de son c?té n’avoir passé aucune alliance avec le FN sur ce thème-là. Selon Krystina Roger, élue PS au Conseil régional et présente à l’assemblée ce 26 mars, ? le vote est un vote public et non à main levée. Chacun appuie sur le bouton pour voter. Vous ne savez pas ce que le voisin vote ?. Point de consigne de vote donc ? ? Je n’étais pas dans les commissions, donc je ne sais pas ce qui s’est dit auparavant. Ce que je sais, c’est que le texte posait un problème de légalité parce qu’il faisait allusion aux origines ethniques. Nous avons déjà mis en place un tas de mesures sur les discriminations et qui concernent tout le monde. Nous avons voté des mesures en faveur de la parité, par rapport aux jeunes et aux personnes handicapées ?, explique Krystina Roger.
Selon l’élue PS, les votes semblables du PS et du FN sur ce texte sont ? un pur hasard ?. Le Parti socialiste n’accepterait-il pas, par principe, de voter un texte émanant du Nouveau centre, parti de la majorité présidentielle ? ? Absolument pas, répond Krystina Roger. Si vous regardez bien, nous avons voté des textes proposés par le Nouveau Centre, notamment concernant l’amélioration des places en crèches. Nous n’avons aucun problème avec cela. Nous ne nous arrêtons pas à cela. Ce qui nous importe, c’est le bien-être que l’on peut apporter au quotidien des Franciliens. ?
Et sur le départ précipité de Jean-Paul Huchon ? ? Il a d? partir car il avait des obligations. Il devait inaugurer ce soir-là le dispositif « ApprentiScènes ». Ce projet a été mis en place par la région afin de montrer la créativité des jeunes apprentis et de revaloriser l’image de l’apprentissage. M. Huchon a donc délaissé un débat sur les discriminations en apprentissage pour assister à des sketchs réalisés par des jeunes apprentis. ? De quoi rassurer, peut-être Le?la Leghmara…
Nassira El Moaddem

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Apr 7, 2011

La banlieue et le journaliste se marieront-ils un jour

Daniel Deloit, directeur général de l’Ecole supérieure de journalisme de Lille (ESJ), se définit comme ? un banlieusard élevé dans la périphérie d’une ville dans les corons miniers ?. Il reconna?t volontiers que la question de la banlieue ? nous occupe et nous a préoccupés ?. Lucide, il est conscient du retard accusé par les écoles de journalisme dans l’apprentissage du traitement de la banlieue. Si les journalistes n’ont pas fait jusqu’alors ? le travail en amont qui s’impose, il ne faut pas pour autant le faire vite et n’importe comment ?. Et cite en exemple, la classe prépa diversité lancée sous l’égide de l’ESJ en partenariat avec le Bondy blog.
Nordine Nabili, journaliste et directeur de l’ESJ-Bondy, anime le débat et cède la parole à Nasser Kettane, patron de la radio Beur FM. Son constat est implacable. ? Pas grand-chose n’a changé, on en est au même stade qu’il y a 30 ans. La banlieue est vécue comme une extraterritorialité, elle est traitée comme quelque chose d’étranger. Quand le journaliste part en banlieue c’est comme s’il allait au Rwanda ou en Pologne. ?
Le directeur d’une des radios les plus écoutées par la diaspora maghrébine pointe ? la passivité et la fainéantise du journaliste qui n’est pas toujours partant pour y aller. Il n’a pas le temps, il doit aller à l’essentiel, il est investi par sa rédaction sans connaissance des réalités. Souvent on y envoie une personne qui ne va pas rester, le stagiaire ou un spécialiste de l’économie. ?
Nordine Nabili explique que s’il avait été galant il aurait cédé la parole en premier à Samira Djouadi, de la Fondation TF1. Sans langue de bois, elle reconna?t que ? TF1 n’est pas la bienvenue en banlieue ?. Originaire du célèbre 93, elle est prof de sport à La Courneuve quand elle se rend compte à quel point ses élèves ont une culture sportive développée mais inexploitée. Engagée à la régie publicitaire de TF1, elle met en place une fondation permettant à des aspirants journalistes de faire leurs gammes au sein des rédactions de TF1 tout en suivant une formation en alternance au Centre de formation des journalistes (CFJ), rue du Louvre à Paris.
Celle qui refuse l’étiquette de ? Madame diversité ?, confie ne pas forcer les jeunes qui intègrent la fondation ? à se spécialiser dans la banlieue ?. Elle préfère insister sur le fait que ces journalistes pourront prêter main forte à leurs collègues en les faisant bénéficier de leurs réseaux et en leur enseignant les codes de la banlieue.
Sylvère-Henry Cissé, journaliste sportif à Canal +, partage le point de vue général. Et insiste sur le travail de fond que les journalistes doivent réaliser. Ils doivent se renseigner, solliciter quelqu’un qui s’y conna?t, décrocher leur téléphone, naviguer sur Internet. Membre du club Averroès, Sylvère-Henry Cissé parle du Net comme d’un outil indispensable pour réhabiliter l’image de la banlieue. Il aimerait que des pages la présentant sous son angle positif soient alimentées pour faire contrepoids. Daniel Deloit reprend la parole et explique qu’il ne faudrait pas que la banlieue devienne une rubrique, au même titre que le sport, un élément d’étude à isoler et couper du reste de l’actualité.
Nasser Kettane encha?ne sur le thème de la stigmatisation et dénonce ? la fantasmagorie de la fille en hidjab alors qu’une fille ne le met pas pareillement à Alger, en Afghanistan ou à La Courneuve ?. Il n’hésite pas à mettre en cause certains reportages qui ? tuent ?. Nasser Kettane déplore le fait que la société considère qu’en banlieue il y’a ? des voleurs, des violeurs, de l’islamisme, de la violence. Alors que c’est une communauté de vie, de partage ?.
Samira Djouadi met en avant les rencontres qu’elle organise entre les vedettes de l’info de TF1 et la jeunesse de banlieue. Elle raconte que ? dans les lycées, on s’en prend plein la tronche. J’emmène Harry (Roselmack) car il veut que ?a change ?. Motivée par sa mission, Samira Djouadi convainc les plus réticents comme Laurence Ferrari. Elle confie que Jean-Pierre Pernaut avant d’aller à Bobigny ? était en panique dans la voiture ?. Elle lui a rétorqué qu’elle ne l’emmenait pas ? dans la jungle ?. De retour, conquis, il a simplement demandé : ? On y retourne quand ? ? Elle espère que de retour au bureau, les journalistes tirent partie de cette rencontre.
La deuxième partie du débat réunit Edouard Zambeaux, journaliste sur France Inter, Erwan Ruty fondateur de l’agence de presse Ressources Urbaines et Mohamed Hamidi du Bondy Blog. Frédéric Boisset, journaliste pour la télévision, annoncé, ne viendra pas. Edouard Zambeaux ouvre la discussion et raconte qu’il a fait le choix de traiter des questions de banlieue. Il regrette qu’une grande radio comme France Inter n’ait jamais crée un poste dévolu à cette question. Et déplore que les journalistes se saisissent du sujet banlieue comme d’un fait divers. Le journaliste, plaide Zambeaux, doit se départir de ses idées re?ues et le jeune arrêter de jouer au jeune de banlieue. Pour Erwan Ruty, l’essentiel est de ne pas prêcher des convaincus et de peser ? sur les décideurs qui ont un déficit de connaissances ?.
Pour Mohammed Hamidi, la solution est simple : ? Il faut infiltrer les rédactions. Cela prend du temps, et ne doit pas être fait n’importe comment. Il faut prendre des gens qui ont du talent et non pas faire de la discrimination positive. ? Il poursuit en faisant le parallèle avec le milieu politique. ? Si c’est pour faire du Rachida Dati, ce n’est pas la peine. ?
Edouard Zambeaux dénonce l’injonction implicite de faire du ? positif ? sur la banlieue : ? On s’enthousiasme pour la moindre association de quartier, pour le moindre slammeur bidon. ? Il faudrait seulement banaliser et normaliser la banlieue. Et éviter, ajoute le reporter de France Inter, de basculer du ? banlieue is dangereux à banlieue is merveilleux ?, pour se rattraper.
Fa?za Zerouala


Journalisme et banlieue: le débat

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