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Mar 31, 2011

Bourses et logements universitaires - les Crous à la ramasse

Pas de ticket pour prendre son tour. Juste une interminable file d’attente. Bienvenue dans le monde enchanté des Crous, ces administrations chargées, entre autres, de la gestion des bourses et des logements universitaires. Chargées, mais surtout débordées en ce début d’année universitaire.
Fin septembre au Crous de Paris. Alors que les années précédentes, les étudiants pouvaient monter directement au premier étage et patienter avant d’espérer rencontrer un agent, c’est désormais un personnel de sécurité qui leur souhaite la bienvenue. Des hommes qui jouent à la police et aux régulateurs de flux. Une maman est venue s’occuper du dossier de bourses de ses enfants : ? Ils sont en cours. Deux sont en prépa et ma fille est en double-cursus. Ils n’ont pas le temps de se déplacer donc je viens à leur place. Mercredi dernier, je suis venue pourtant assez t?t mais il y avait déjà du monde jusque devant les portes. Je n’ai pas eu le courage de rester. ? Les étudiants font le pied de grue. Parfois pendant plusieurs heures. Certains sont arrivés bien avant l’horaire d’ouverture, 9 heures, pour espérer être parmi les premiers.
Pour beaucoup, la rentrée ayant déjà commencé, il n’y a pas d’autre choix que de rater des cours. C’est le cas d’Aurélie, étudiante en littérature. Certains repartiront bredouilles si le service ferme ses portes avant qu’ils n’aient atteint le guichet. Le Crous de Paris tente de gérer la situation comme il peut. Jusqu’à la fin du mois d’octobre, le service est ouvert jusqu’a 15h30 contre 13 heures habituellement. Mais inutile d’appeler le service au téléphone. Personne pour répondre.
Au Crous de Créteil, la situation est en apparence plus ma?trisée. Pas de queue interminable à l’arrivée, les étudiants semblent re?us assez rapidement et ont la chance de pouvoir s’asseoir sur les quelques sièges de la salle d’attente. Mais en discutant avec certains d’entre eux, en colère, la situation appara?t là comme tout autant difficile.
Comme au Crous de Paris, le flux tendu de cette rentrée y a entra?né des retards dans le traitement et la saisie des dossiers, et cela a eu des conséquences sur la mise en paiement des bourses. Au final, de nombreux étudiants se retrouvent en ce début d’année sans bourse mais également sans attestation prouvant qu’ils toucheront bien cette aide financière alors même que la plupart étaient déjà boursiers les années précédentes. Résultat : pas d’attribution conditionnelle ou définitive de bourses, obligation de payer les frais d’inscriptions à la fac.
? C’est scandaleux de devoir payer les frais de scolarité alors qu’on est boursier. J’ai d? trouver378 euros pour mon inscription. Si j’ai une bourse, c’est qu’à la base, j’ai une situation modeste. 400 euros c’est pas donné à tout le monde. J’ai des amis qui étaient dans le même cas. Ils ne se sont pas inscrits parce qu’ils n’avaient pas l’argent. Je trouve ?a grave ?, s’insurge Céline, en DUT carrières sociales à Paris XII. Sur avis d’un des agents du service des bourses, elle a rencontré une assistante sociale de sa fac. ? Je suis partie lui expliquer ma situation et demander une aide pour le paiement de mes frais de scolarité. Elle ma dit que je n’étais pas prioritaire et que des étudiants se trouvaient dans des situations plus dramatiques que la mienne. ?a m’a vraiment énervée. ?
Obligée donc de payer ses frais de scolarité. Là encore, les difficultés continuent : ? Impossible d’échelonner le paiement comme je l’avais demandé, car 400 euros d’un coup c’était énorme pour moi. Et pour payer, c’est soit par mandat cash, soit par chéquier. Je n’en avais pas. J’ai d? demander à quelqu’un de ma famille. ? Une autre étudiante rencontrée au Crous de Paris explique avoir montré son avis définitif de bourse de l’an dernier pour ne pas avoir à payer les frais de scolarité de cette rentrée. A charge pour elle de ramener la nouvelle notification une fois re?ue. Une solution que seule cette étudiante semble conna?tre. D’autres étudiants rattachés aux Crous de Créteil et de Paris indiquent avoir d? s’acquitter des frais d’inscription, en raison du retard dans le traitement des dossiers.
Mathieu Beurois, chargé de la communication au Crous de Créteil, en veut à ces étudiants qui se réveillent, selon lui, à la dernière minute : ? Beaucoup arrivent à la rentrée et demandent une bourse et un logement alors qu’ils n’ont pas respecté les délais de saisie des dossiers. Si on avait le courage de décider qu’après une certaine date, il n’est plus possible de faire sa demande, cela responsabiliserait peut-être les étudiants. ?
Au-delà de la saturation du service, il y le nouveau barème des bourses que le ministère n’a adressé aux Crous que vers les première et deuxième semaines de septembre. Il y a aussi les variations de dates de traitement des dossiers dues aux arrivées au compte-goutte des demandes. Selon Mathieu Beurois, si les étudiants saisissaient leurs demandes dans les délais impartis, les attributions de bourses leur arriveraient au plus t?t en juin, au plus tard en septembre. Pourtant, certains étudiants qui n’ont, à ce jour, toujours pas de réponse définitive, assurent avoir fait leur demande dans les temps.
A cela s’ajoutent les pièces manquantes aux dossiers qui retardent leur traitement, le manque de personnel et les bugs informatiques. Fin ao?t, une panne du serveur a donné des sueurs froides aux étudiants qui, en se connectant sur le site des Crous, ne voyaient qu’une page blanche, sans aucun accès au suivi de leur dossier. Et en cette matinée de septembre seuls trois agents re?oivent les étudiants au Crous de Paris, pourtant présents en nombre. A Créteil, Mathieu Beurois reconna?t qu’il manque de mains: ? On a bien recruté des étudiants, des vacataires que l’on a formés mais il est clair qu’il n’y a pas assez de personnel. ?
Au Crous de Paris, une des personnes chargées de la sécurité répond à la plainte d’une des étudiantes : ? Vous savez, dans mon quartier, j’ai bien demandé à des jeunes de venir travailler mais tu parles, ils préfèrent tenir les murs. ? Et lorsque des pièces de dossiers viennent à manquer, aucun autre moyen pour les étudiants de le savoir si ce n’est en se dépla?ant directement dans les Crous : la ligne téléphonique est très souvent saturée, et aucun courrier ni mail n’est envoyé.
Que ce soit à Paris ou à Créteil, inutile d’espérer un logement universitaire. Les résidences sont pleines. ? Un taux d’occupation, non pas de 100% mais de 120% pour l’académie de Créteil. C’est-à-dire que toutes les résidences sont pleines, que les seuls logements vides actuellement sont ceux qui viennent d’être quittés et qui seront réoccupés dans quelques jours le temps que les étudiants arrivent. Et il y a également une liste d’attente de 2000 étudiants que nous venons d’arrêter. On s’est rendu compte qu’elle donnait de faux espoirs aux étudiants alors que ceux sur la liste ne sont même pas s?rs d’avoir quelque chose ?, explique Mathieu Beurois.
Des solutions alternatives existent pour les étudiants. Encore faut-il les conna?tre. Pour le chargé de la communication du Crous de Créteil, les moyens d’information ne manquent pas : site internet, stands du Crous à l’université, campagne d’e-mailing, plaquettes et livrets d’information, page officielle sur Dailymotion. Il assure même répondre aux questions des jeunes sur Twitter. ? La population étudiante est une cible extrêmement difficile à toucher ?, regrette-t-il. Pourquoi ne pas envisager des séances obligatoires pour les étudiants en amphithéatres dans les universités? ? On s’est battu cette année avec les universités pour que le Crous fasse des interventions en amphithéatre. Il y a eu d’apres négociations. Au final on a pu intervenir en amphi mais pas de manière obligatoire. Résultat : seuls quatre étudiants étaient présents. ?
Afin d’aider ceux en difficulté, il y a le FNAU, le Fonds national d’aide d’urgence des Crous qui remplace les anciens dispositifs de l’allocation unique d’aide d’urgence et de l’allocation d’études. Il permet, sur décision d’une commission, d’accorder des aides annuelles aux étudiants recevables à une bourse mais dont la situation familiale ne permet pas le traitement ? classique ? de leur dossier, et d’allouer des aides ponctuelles aux étudiants qui rencontrent des difficultés momentanées. Mais, selon les étudiants présents au Crous de Créteil, la grande majorité ignore l’existence de ce dispositif. Mathieu Beurois confie que quelques étudiants, ayant appris la tenue des commissions sans avoir bénéficié d’aides, ont adressé des menaces de mort par courrier, par téléphone et agressé verbalement et physiquement des agents du Crous.
Pour le logement, Mathieu Beurois insiste sur les rénovations et les prochaines constructions de résidences universitaires : selon ses chiffres, ente 85 et 90% du parc locatif géré par le Crous de Créteil a été rénové. Et de nouvelles résidences verront le jour à Villetaneuse, à Bobigny sur le site de la Vache à l’aise et à La Courneuve. ? Cela prend du temps : le temps d’avoir les autorisations, d’avoir les permis de construire… ? Ces projets de construction sont peu médiatisés : ? C’est un choix stratégique, explique-t-il. Il ne faut pas en parler trop t?t car encore une fois, on est dépendant des délais de chantiers qui peuvent prendre du retard. ?a pourrait créer des frustrations. Il faut certes les mettre en avant pour montrer nos actions en la matière mais pas trop pour éviter que cela se retourne contre nous.?
Mathieu Beurois déplore l’image négative du Crous. ? J’aimerais pouvoir montrer à quel point les agents des services ne ménagent pas leurs efforts au service des étudiants. La semaine dernière, 1536 ont été re?us du lundi au jeudi. L’accueil physique des étudiants est une vraie priorité pour nous. ? C’est ainsi que le responsable de communication a organisé l’année dernière un casting dans les universités de l’académie. Objectif : donner une image moderne et en phase avec la réalité du monde de la vie étudiante. Cinq étudiants ont été sélectionnés par un jury pour représenter la nouvelle génération d’étudiants dans les campagnes d’affichage du Crous. Co?t de l’opération : 5 000 euros.
Il faudra encore du temps et davantage d’efforts pour redorer la réputation des Crous. Il suffit de surfer sur les forums spécialisés et de lire les posts les concernant pour avoir une idée de l’opinion des étudiants à ce sujet. Céline, l’étudiante de carrières sociales, est catégorique : ? Si on veut être informé, vaux mieux conna?tre des étudiants ayant traversé les mêmes galères et qui ont connu les mêmes problèmes. Ils savent nous informer beaucoup mieux que tous les services du Crous réunis. ?
Hasard du calendrier? Voici le message que l’on pouvait lire sur le site internet du Crous de Paris au moment où je finissais de rédiger cet article : ? Suite à une coupure d’alimentation électrique sur le réseau informatique, le service des bourses et du logement est fermé le mercredi 6 octobre. L’application internet « suivi du dossier social étudiant » est également fermée pendant la même période. ?
Nassira El Moaddem

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Mar 25, 2011

Prévention et soins gratuits « Ecotidien

, Les soins médicaux sont de moins en moins bien remboursés : le ticket modérateur, la part non prise en charge par la sécurité sociale, est passé de 20 à 35%, des franchises sur les médicaments et des forfaits hospitaliers ont été mis en place. En même temps, le budget de la sécurité sociale est déficitaire de plusieurs milliards d’Euros, et la contribution au remboursement de la dette sociale (la CRDS des fiches de paie) ne suffit pas à pallier les dépenses multiples, dont les exonérations de charges sociales, énorme manque à gagner pour les finances publiques. Les assurés fran?ais sont donc finalement bien lotis, puisque plus de 75% des soins sont pris en charge. Malgré tout, certains n’ont pas les moyens de faire autant de visites médicales que nécessaires. Heureusement, plusieurs solutions existent pour avoir un accès aux soins gratuit ou presque…
Les centres de PMI, Protection Maternelle et Infantile ont été créées en 1945 par l’Etat, et sont aujourd’hui gérées par les conseils généraux. Elles jouent plusieurs r?les auprès des jeunes familles : outre les informations destinées aux parents (contraception, éducation, mode de garde avec l’envoi de listes d’assistantes maternelles disponibles par exemple) délivrées gratuitement et sans rendez-vous, des pédiatres proposent des consultations. Ils peuvent s’occuper notamment de vacciner les tout-petits et de donner des conseils sur l’allaitement et l’alimentation des nouveau-nés. Les PMI sont aussi équipées de mètres et de balances pour nourrissons, pratiques pour surveiller de près leur croissance et s’acquitter des visites obligatoires. En revanche, les PMI sont là pour prévenir et non guérir : ces pédiatres ne font pas office de médecin traitant. En cas de fièvre ou de maladie, il faudra se tourner vers un praticien extérieur. Dans certaines PMI, les cartes vitales ne sont même pas demandées.
Les centres de soins mutualistes accueillent les étudiants, les retraités, les familles nombreuses, et toute personne ayant un budget soins limité et une bonne mutuelle. De nombreux centres de soins permettent aux assurés de ne payer qu’une partie de la consultation, quelques Euros seulement en général. A Paris, c’est le Centre Saint Victor, de la Fédération mutualiste d’Ile-de-France, qui propose ce service. Patience : les rendez-vous sont parfois longs à obtenir, et sur place, une bonne heure en moyenne si vous vous y rendez ? aux heures de pointe ?. Les deux cartes, de sécurité sociale et de mutuelle, vous seront demandées à l’accueil.
Un bilan de santé vous est offert tous les 5 ans. Tous les assurés sociaux qui n’en ont pas bénéficié les 4 dernières années peuvent en faire la demande et passer un grand ? check-up ? préventif : ORL, gynécologue, dermatologue, dentiste, tout y passe. Attention : il ne s’agit pas de soins, mais d’un bilan. On pourra vous dire que vous avez 3 caries et une gingivite, mais pas vous les soigner : c’est à vous de prendre rendez-vous avec un médecin par la suite. L’intérêt : ?a vous permet de vous faire dépister des maladies graves auxquelles vous n’auriez pas pensé, et inversement, de ne pas aller pour rien chez un spécialiste. Pour en bénéficier, une seule démarche : adresser un courrier à votre Caisse Primaire d’Assurance Maladie, qui vous adressera en réponse une convocation dans un centre de soins.
Des médecins altruistes soignent aussi gratuitement les personnes en détresse financière, morale ou physique. Le Docteur Falcucci, de Toulouse, nous explique : ? Dans ces deux cas, détresse ou pauvreté, cela me semble évident et je ne fais pas payer la consultation ! J’essaye de parler avec les gens, souvent, plus que les soins les gens ont besoin d’être rassurés ? Alors que d’autres médecins n’hésitent pas à dépasser largement les honoraires conventionnées, la pratique semble normale pour lui : ? Ma motivation est simple : elle est dictée par la conviction d’aider ceux qui en ont réellement besoins entre autre et dans la médecine cela est peut être plus important qu’ailleurs… la détresse des gens ne nous est pas masquée ?
Pour les adolescents et les femmes, mais aussi toute personne en recherche d’un interlocuteur, le Planning Familial permet aussi d’avoir accès à des informations et des consultations gratuites, anonymes et sans rendez-vous sur la contraception et la santé en général. Toutefois, son avenir n’est pas assuré, puisque le budget qui lui est alloué a été récemment diminué de 20%, soit 500 000 Euros.
Marlène Schiappa

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Mar 18, 2011

Steve Jobs envoie des iPods aux 33 mineurs

En plus des sous-vêtements de l’espace du Japon et 10.000$ d’un riche businessman, les 33 mineurs chiliens recevront de nouveaux iPods offerts par Apple. C’est enfin, la bonne nouvelle que le monde entier attendait cette année.? Et puisque l’histoire se termine bien, on peut blaguer.
Qu’y a-t-il sur leur playlist??


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Mar 9, 2011

Il joue de la musique à la Mario Bros

Alors là chapeau bas l’artiste et l’artiste dans deux sens du terme : aussi bien pour la créativité et la réalisation de cet instrument de musique que pour le talent indéniable d’interprétation. A la manière des tuyaux dans Super Mario Bros, un jeune amateur en a repris l’idée pour assembler son propre instrument.
Suite à cette petite introduction, voici la vidéo de cet amateur. Comme on peut le lire sur Youtube, voilà donc les thèmes musicaux interprétés (liste en anglais).
Et pour ceux qui souhaitent en apprendre davantage sur ce jeune homme, voici le lien pour accéder à sa page Facebook.
-Office Theme Song (0:18)
-Linus and Lucy (0:38)
-Turkish March (1:13)
-Mario Brothers Theme (1:27)
-In the Hall of the Mountain King (1:54)
-Bad Romance (2:07)
-Viva La Vida (2:50)
-Like a Virgin (3:03)
-Crazy Train (3:23)
-Harder, Better, Faster, Stronger (4:01)
-James Bond Theme (4:15)
-Pirates of the Caribbean Theme (4:35)
-The Final Countdown (featuring my friend, Quin) (4:56)
Image de prévisualisation YouTube

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Mar 2, 2011

Grippez votre iPhone pour l’empêcher de glisser

Si votre iPhone 4 a tendance à se prendre pour une savonnette entre vos mains moites, voici une solution aussi radicale qu’originale pour qu’il ne glisse plus jamais: grippez-le!
La modification consiste à équiper le dos de votre iPhone avec le matériau antidérapant qui recouvre les skateboards.
Bon d’accord vous allez vous raper les mains, mais au moins votre précieux risquera moins la chute libre. Ou les dérapages incontr?lés sur les surfaces lisses (comme les tablettes d’avion ou de train).
Le gars qui a réalisé cette coque l’a fait par nécessité: il avait fait tomber son iPhone et brisé le verre. Après avoir essayé différents matériau, il a opté pour le grip des skates.
Si vous aimez le look, vous pouvez acheter un sticker en grip découpé au laser (réalisé par l’auteur de la modif) pour la modique somme de 5 dollars. Rendez-vous ici.

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